Le réalisme de l’événement et l’imaginaire du langage dans le récit coranique

Résumé

    Le récit coranique représente environ un quart du texte coranique en volume, ce qui en a fait un centre d'intérêt pour les savants aux diverses orientations intellectuelles, qu'il s'agisse de l'exégèse religieuse ou de la littérature artistique. Leurs études se croisent et se mettent parfois en parallèle à de nombreuses reprises, en particulier ceux liés à la question du réalisme des récits coraniques et de leur imagination, qui est la question sur laquelle les plumes se sont battues : Certaines d'entre elles - des études - étaient logiques et objectives, et d'autres étaient loin d'être une pensée islamique solide et solide. logique rationnelle, et par cette dernière nous entendons les études des orientalistes et de certains Arabes occidentaux.Nous disons sans hésitation : est-il possible qu’un quart du Saint Coran – la constitution de cette vie et de l’au-delà – soit imaginaire ? C’est une question à laquelle on répond évidemment par la négative catégorique, mais une étude méthodologique objective nécessite de présenter un argument convaincant et des preuves claires.J'ai donc décidé d'analyser l'histoire coranique dans ses éléments de base afin d'y parvenir et d'en démontrer le réalisme. Ainsi, l'événement, les personnages, le temps et le lieu étaient une réalité transmise sans histoire ni imagination. , dans un langage qui a atteint l'imagination d'usage, et non l'imagination de la pensée et le mythe de la paternité. Ajoutez à cela les dimensions éducatives et morales qu’il contient qui démontrent clairement la réalité du récit coranique et le miracle de son langage, avec lequel il a atteint l’imagination des usages.